Actes du colloque : Malraux, ombres et lumières.
Quel que soit le Malraux que l’on évoque, on n’échappe pas – d’une manière ou d’une autre – à une certaine forme de tragédie.
On peut choisir son Malraux : le romancier, le militant, l’humaniste, le chevalier des temps modernes, le conquérant de l’Imaginaire, l’agnostique obsédé du divin, le ministre (non de la Culture mais des « affaires culturelles », le coronel de l’escadrille « España », le colonel de la brigade Alsace-Lorraine, le Chat botté. On peut certes choisir son Malraux. On pourrait aussi tenir compte de certaines indications de sa part. Entre autres, celle-ci : « L’art a compté pour moi autant que tout le reste, je peux même dire avant le reste. » A quoi s’ajoute ce constat :« Mes livres sur l’art restent de loin les plus mal compris ».
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