Lorsque je m’engageais en 2005 dans l’académisme d’une thèse sur Gaëtan Picon, mon intuition me guida d’emblée jusqu’à la rue Duroc chez Emile Biasini que j’avais croisé, quelques mois plus tôt, à La Rochelle. Impressionnée par sa carrière, inquiète devant la perspective d’un tempérament que j’imaginais éruptif et sans partage, je craignais, en début de projet, de l’agacer par la naïveté de mes propos ou le contresens de questions dénuées de fondements. […]
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