Le dimanche 27 juin 2021, le Mémorial de la Shoah a organisé en partenariat avec l’AAJS (Association des amis de Jorge Semprun) un hommage à Jorge Semprun à l’occasion du 10ème anniversaire de sa disparition.
Cet hommage fut organisé en deux temps, tous les deux à l’Auditorium Edmond J. Safra (attention : si l’accès aux deux activités était gratuit, le nombre de participants était limité à 63 ; l’inscription pour chacune s’est faite en suivant les deux liens indiqués plus bas) :
À 14 heures : table ronde sur le thème “témoigner par la fiction”
avec Corinne Bénestroff, psychologue, chargée de cours à l’IUT de Paris-Rives de Seine-Université́ de Paris, Françoise Nicoladzé́, auteure de la première thèse sur Jorge Semprun (1995), et d’Eva Raynal, docteure en littérature comparée (Aix-Marseille Université́), enseignante à l’Institut national universitaire Champollion.
Animée par Florent Georgesco, journaliste au Monde des livres.
Mémorial de la Shoah: Hommage à Jorge Semprun (1923-2011) à l’occasion des 10 ans de sa disparition
À 16 heures: Projection du film “L’Origine de la violence“ d’Élie Chouraqui
(France/Allemagne, fiction, 110 mn, L’origine Productions, Integral Film e.K, 2016)
L’art est-il un vecteur du témoignage et du « travail de mémoire » ? « Oui », répond Semprun, ouvrant ainsi la voie à des créateurs, tels l’écrivain Fabrice Humbert avec L’Origine de la violence, roman porté à l’écran par Elie Chouraqui, et les dramaturges Pascal et Vincent Reverte qui ont adapté́ et mis en scène Le Grand Voyage. Quelles formes contemporaines prend la mémoire des camps ?
En présence du réalisateur, de Fabrice Humbert, écrivain et professeur de lettres, et de Pascal et Vincent Reverte, directeurs de la compagnie Le tour du Cadran.
Animée par Corinne Bénestroff, psychologue, chargée de cours à l’IUT de Paris-Rives de Seine- Université́ de Paris.
Mémorial de la Shoah : diffusion du film l’origine de la violence d’Élie Chouraqui
Je voudrais souligner l’importance de l’inscription pour chaque activité en suivant les liens que j’ai indiqué en raison du respect de la jauge telle que fixée par les mesures gouvernementales.
Laurent Bonsang, Président de l’AAJS
